samedi 28 août 2010

La Ballade des Pendus

Frères humains qui après nous vivez,
N'ayez les coeurs contre nous endurcis,
Car, se pitié de nous pauvres avez,
Dieu en aura plus tost de vous mercis,

Vous nous voyez attaché cinq, six,
Quand de la chair, que trop avons nourrie,
...



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